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Québec, le vendredi 17 novembre 2000 – À quelques jours du dépôt d’une pétition de plus de 215 000 noms en faveur de sa démarche, le Collectif pour une loi sur l’élimination de la pauvreté publie une lettre dans laquelle il enjoint les député-e-s québécois-e-s à accueillir de manière non partisane la proposition de loi qu’il met de l’avant suite à une vaste consultation populaire.




Québec, le lundi 6 novembre 2000 – Le 22 novembre prochain, des députés des trois partis politiques siégeant à l’Assemblée nationale du Québec poseront un geste inusité en déposant conjointement la pétition  » Éliminer la pauvreté, c’est possible et nous le voulons  » qui demande à l’Assemblée nationale de recevoir de façon non partisane le projet de loi du Collectif pour une loi sur l’élimination de la pauvreté.




Québec, le jeudi 17 octobre 2000 – L’adoption d’une motion pour souligner la Journée internationale de l’élimination de la pauvreté, aujourd’hui à la rentrée parlementaire, a donné lieu à un débat en Chambre entre les partis au cours duquel il a été question de la réponse gouvernementale aux revendications de la Marche mondiale des femmes et de la proposition de loi du Collectif pour une loi sur l’élimination de la pauvreté.




Québec, le lundi 16 octobre 2000 – Madame Vivian Labrie, porte-parole du Collectif pour une loi sur l’élimination de la pauvreté, Mme Émilia Castro, porte-parole de la Marche mondiale des femmes et Mme Martine Brassard, une personne vivant en situation de pauvreté, seront présentes en chambre le 17 octobre lors de la rentrée parlementaire de l’Assemblée nationale du Québec. Elles seront là pour constater de quelle manière le premier ministre Lucien Bouchard soulignera la Journée internationale de l’élimination de la pauvreté qui correspond au point culminant de la Marche mondiale des femmes 2000.




Québec, le vendredi 13 octobre 2000 – C’est avec une immense fierté que le Collectif pour une loi sur l’élimination de la pauvreté a comptabilisé aujourd’hui en présence de militantes et de militants de Québec la 200 000e signature à sa pétition  » Éliminer la pauvreté, c’est possible et nous le voulons  » qui demande une loi-cadre sur l’élimination de la pauvreté. C’était l’objectif qu’il s’était fixé avant de déposer sa pétition devant les membres de l’Assemblée nationale du Québec auxquels elle est destinée. Celle-ci devient de ce fait l’une des plus importantes pétitions de l’histoire parlementaire québécoise.




Nous faisons appel à vous aujourd’hui pour inciter le gouvernement à se décider à faire avec nous un pas substantiel vers une société sans pauvreté et sans violence. Vous pouvez peser dans la balance par votre signature aux pétitions du Collectif pour une loi sur l’élimination de la pauvreté et de la Marche mondiale des femmes, ainsi que par votre présence aux activités prochaines de la Marche.




Montréal, le vendredi 29 septembre 2000 – Le Collectif pour une loi sur l’élimination de la pauvreté tient aujourd’hui une journée nationale de signatures de sa pétition,  » Éliminer la pauvreté c’est possible et nous le voulons « . Organisée sous le thème  » Je signe et je marche « , cette journée est l’occasion pour le Collectif d’amorcer une dernière étape en vue de recueillir les 12 000 signatures qui lui manquent pour atteindre son objectif de 200 000. Elle constitue, de plus, une occasion de faire signer la pétition de la Marche mondiale des femmes contre la pauvreté et la violence et permet de mobiliser la population en vue des activités de la Marche mondiale des femmes qui battront leur plein du 9 au 17 octobre.




Montréal, le 29 août 2000 – Satisfaite du pas franchi aujourd’hui, Vivian Labrie, porte-parole du Collectif pour une loi sur l’élimination de la pauvreté, a déclaré :  » Nous avons pu aborder le fond de la question avec le Premier ministre, Lucien Bouchard, et évoquer un processus d’étude de la proposition de loi que nous avons mise sur la table. « 




Montréal, le jeudi 24 août 2000 – La Marche mondiale des femmes contre la pauvreté et la violence et le Collectif pour une loi sur l’élimination de la pauvreté joindront leurs forces à l’automne 2000. Cette alliance se concrétisera par une participation conjointe à une rencontre avec le Premier ministre Lucien Bouchard, le mardi 29 août, et par une journée nationale de signatures de la pétition du Collectif qui se tiendra le 29 septembre prochain.




Dans un éditorial du Soleil du 25 décembre 1999, Brigitte Breton souhaitait un véritable débat public sur la Proposition du Collectif pour une loi sur l’élimination de la pauvreté. Nous en sommes manifestement là avec l’initiative de Gérald Ponton de publier son opinion dans le même journal. Ce débat est souhaitable et nous l’invitons : il faudra tout de même savoir à quoi nous nous engageons avant de nous donner une loi-cadre sur l’élimination de la pauvreté.




Québec, le 15 juin 2001. Réagissant à l’annonce de la stratégie gouvernementale de lutte à la pauvreté, le Collectif pour une loi sur l’élimination de la pauvreté constate que la révolution promise par le premier ministre n’est pas au programme. De même il constate le peu de cas fait de l’importante mobilisation qu’il a déjà lui-même effectuée et y voit un manque de respect du travail citoyen déjà fait. Par un manque d’économie flagrant, le gouvernement choisit de repartir à zéro une consultation sur sa propre base. Alors que le Collectif proposait une case départ.




Québec, le 14 juin 2001. En entendant Bernard Landry promettre aux médias rien de moins qu’une véritable révolution en matière de lutte contre la pauvreté, le Collectif pour une loi sur l’élimination de la pauvreté invite le premier ministre à prendre le mot au sérieux. « Une révolution, c’est une transformation complète de l’ordre social. Nous sommes d’accord. Il faut changer le système. Il faut mettre un stop à la croissance des écarts entre riches et pauvres et à ce qui la cause. Il faut jeter les bases d’un Québec sans pauvreté. Il faut commencer cette révolution », a signifié Vivian Labrie, porte-parole du Collectif, dans une lettre au premier ministre.