Recherche



421-435 de 748 documents

Après deux ans de gestation, le Collectif est fier de présenter l’aboutissement d’un projet qui marquera la mémoire militante du mouvement citoyen de lutte à la pauvreté : Tenir parole! Trajectoires et paroles citoyennes autour d’une affiche.




Du 26 au 30 janvier dernier, c’était la Semaine nationale d’action : réseau de l’éducation. Le but de cette semaine a été atteint puisque plusieurs organisations et personnes du réseau de l’éducation et des mouvements citoyens ont été rejointes et mobilisées. En ce moment, il est difficile d’évaluer le nombre de cartons de pétition supplémentaires qui ont été signés. Toutefois, il est possible de souligner quelques actions qui ont eu lieu.




Le Collectif pour un Québec sans pauvreté annonce la tenue d’une Semaine nationale d’action dans le réseau large de l’éducation, du 26 au 30 janvier 2009.
Pour avoir une société qui favorise réellement l’égalité des chances, l’éducation doit être au cœur du projet de lutte à la pauvreté du gouvernement. Elle doit être accessible autant aux adultes qu’aux enfants, afin de favoriser le plein développement du potentiel des personnes.




Il est arrivé pour 18 mois, le 1er janvier 1999, comme agent à la saisie de données dans un projet en pleine ébullition, le Collectif pour une loi sur l’élimination de la pauvreté. Dix ans et une loi plus tard, le Collectif a changé de nom, Claude a changé de poste, mais il est toujours là, témoin de la durée et porteur des mille échos en provenance de partout au Québec.




Entre 2005 et 2008, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié le rapport final de la Commission des déterminants sociaux. Cette Commission a été créée dans le but « de remédier aux inégalités sanitaires et aux disparités des conditions de vie quotidiennes » (p. 2). Ce rapport énonce les causes et les effets des inégalités sanitaires […]




Pour maintenir le cap, on prépare un hiver très actif : trois semaines thématiques sont prévues, la première dans le réseau de l’éducation dès le 26 janvier, la seconde dans le réseau de la santé à la fin février et la troisième pour la fin de la campagne. Elles permettent d’exploiter un thème et de mobiliser de façon systématique touTEs les acteurs et actrices d’un réseau.




Le discours sur le budget 2008-2009 a été présenté le 13 mars 2008. C’est une année de réforme comptable et d’intervention économique après une année de baisses d’impôts qui ont servi à dilapider le fric retourné par le fédéral pour régler le déséquilibre fiscal longuement disputé entre Ottawa et les provinces.




Depuis le début de la campagne électorale, cinq grandes organisations québécoises représentant des milliers de citoyennes et de citoyens ont multiplié les demandes de rencontre avec les chefs des partis politiques du Québec.
La Coalition des Tables régionales d’organismes communautaires, la Coalition pour l’accès à l’aide juridique, le Collectif pour un Québec sans pauvreté, la Coalition solidarité santé et la Fédération des femmes du Québec tentaient ainsi d’obtenir des engagements fermes en matière de lutte contre la pauvreté et pour le maintien d’un système de santé, universel et accessible.




Jeudi prochain, le 4 décembre, bien des politicienNEs en campagne ne pourront pas résister à la tentation d’être vuEs en train de récolter de la nourriture pour les « démuniEs » à l’occasion de la Guignolée des médias. Ce n’est pourtant pas l’action qu’on attend d’eux. La pauvreté au Québec ne sera pas éliminée à coups de guignolées, mais par des politiques publiques en matière de lutte à la pauvreté.




Cinq grandes organisations québécoises représentant des milliers de citoyennes et de citoyens s’interrogent sérieusement sur le manque d’intérêts des trois grandes formations politiques québécoises concernant les enjeux de la pauvreté et de la santé. À l’occasion du déclenchement des élections au Québec, le Collectif pour un Québec sans pauvreté, la Coalition des Tables régionales d’organismes communautaires (CTROC), la Coalition pour l’accès à l’aide juridique, la Coalition solidarité santé et la Fédération des femmes du Québec (FFQ) se sont unis pour demander des rencontres avec les chefs des cinq principales formations politiques.




Depuis le début de la campagne électorale, la lutte à la pauvreté est absente des priorités des trois partis représentés à l’Assemblée nationale. Pourtant, le Collectif pour un Québec sans pauvreté estime qu’elle offre des avenues nécessaires pour sortir de la crise économique et qu’on doit y mobiliser l’ensemble de la société québécoise, au nom des droits humains.




Le 4 novembre dernier, la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, a fait le point sur la situation économique et financière du Québec. À cette occasion, elle a annoncé la pleine indexation annuelle des prestations d’aide sociale pour les personnes «jugées» sans contrainte sévère à l’emploi, stoppant ainsi leur appauvrissement programmé. En effet, entre avril 2003 et juillet 2008, ces personnes ont subi une perte de leur revenu disponible de 4,9% (en dollars constants).




Le Collectif pour un Québec sans pauvreté condamne les propos qu’a tenus Mario Dumont concernant l’aide sociale à Pierreville. Les propositions de l’ADQ pour forcer le retour sur le marché du travail des personnes assistées sociales sont simplistes et déconnectées de la réalité que vivent les personnes pauvres.