50$, c’est des miettes!
Lettre ouverte du Comité AVEC à la ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Mme Agnès Maltais, à la suite du dévoilement du «pilier solidarité» du gouvernement du Québec.
Lettre ouverte du Comité AVEC à la ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Mme Agnès Maltais, à la suite du dévoilement du «pilier solidarité» du gouvernement du Québec.
À l’approche du temps des Fêtes, le Collectif pour un Québec sans pauvreté lance une grande campagne de sensibilisation, qui prend la forme d’une distribution, à la grandeur du Québec, de quelque 50 000 cartes de Noël.
Le gouvernement du Québec a dévoilé aujourd’hui ses orientations en matière de solidarité sociale. Si, d’un côté, le Collectif pour un Québec sans pauvreté reconnaît que le gouvernement semble enfin vouloir combattre l’inertie qui caractérise son action de lutte à la pauvreté depuis 10 ans, de l’autre, il critique l’insuffisance de la hausse de revenu consentie aux personnes assistées sociales vivant seules.
Le Collectif pour un Québec sans pauvreté profite de l’occasion qu’offre la Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté pour jeter un regard critique sur l’action gouvernementale des douze derniers mois.
Le Collectif invite les QuébécoiSEs à profiter de la campagne électorale municipale pour questionner les candidatEs sur ce qu’ils et elles comptent faire pour lutter contre la pauvreté, les inégalités et les préjugés s’ils et elles sont éluEs le 3 novembre prochain.
Ce midi, le ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MESS) a publié des statistiques concernant l’abolition de l’allocation pour contraintes temporaires à l’emploi pour les personnes âgées de 55 à 57 ans et les couples avec un enfant de moins de cinq ans. Des statistiques navrantes qui confirment les prévisions les plus pessimistes.
À quelques jours de la Semaine de la solidarité (du 13 au 19 octobre), le Collectif pour un Québec sans pauvreté exhorte le gouvernement du Québec à investir autant d’énergie et de ressources pour éradiquer la pauvreté qu’il en a investi, lundi, dans sa nouvelle politique économique.
Madame la Première Ministre,
Il y a quelques semaines, vous affirmiez, à la sortie du caucus du Parti Québécois, que votre gouvernement miserait davantage sur l’identité, la prospérité et la solidarité, et ce, dès la rentrée parlementaire. Déjà, que vous décidiez de tabler sur la solidarité constitue une excellente nouvelle. Toutefois, selon le Collectif, ce qui compte, c’est évidemment la manière de le faire.
Partout où la tournée s’est arrêtée depuis septembre dernier, des propos semblables se sont fait entendre : la pauvreté « magane », les inégalités s’accroissent et les préjugés enveniment toute discussion sur celles-ci ou celle-là. La région Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine ne fait pas exception.
L’Institut national de santé publique du Québec a publié en 2013 un document qui fait état des stratégies et des indicateurs pour la surveillance des inégalités sociales de santé au Québec. Ce rapport « résulte d’un effort conjoint de professionnels régionaux et nationaux de la surveillance au Québec, issus de la Table de concertation nationale […]
La ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Agnès Maltais, a annoncé en conférence de presse le 28 mai dernier qu’elle allait de l’avant avec son projet de modification au règlement d’aide sociale […]
Malgré tous les avis contraires maintes fois répétés, la ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Madame Agnès Maltais, a annoncé aujourd’hui qu’elle ira de l’avant avec les modifications réglementaires à l’aide sociale, lesquelles entreront en vigueur dès le 1er juillet. Le Collectif pour un Québec sans pauvreté juge que la ministre est dans les patates.
Contrairement à ce qui circule depuis hier, le Collectif pour un
Québec sans pauvreté ne demande pas la tête de la ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, madame Agnès Maltais. Cependant, il l’invite à arrêter de n’en faire qu’à sa tête et lui demande de retirer immédiatement son projet de modification du règlement d’aide sociale,
encore décrié de toutes parts.
Le 9 avril dernier, à la veille d’une conférence de presse du Collectif, la ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Agnès Maltais, a convoqué les représentantEs des médias pour faire le point sur son controversé projet de modification au règlement d’aide sociale.
Cette brochure aborde ce qu’est le revenu minimum garanti ainsi que les enjeux qu’il peut soulever : « [à] droite, on considère que cette formule permet de dégager l’État de sa responsabilité sociale face aux aléas de la vie. […] À gauche, c’est plutôt la dignité et le droit à un » niveau de vie décent » qui […]