Communiqués et lettres ouvertes




À la suite de sa rencontre, ce matin, avec la ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, madame Agnès Maltais, le Collectif pour un Québec sans pauvreté est consterné du fait que, malgré les multiples failles du raisonnement sous-jacent au projet de règlement déposé, la ministre continue d’en faire la promotion. Son pari de « n’échapper personne », pris sur la santé et la dignité des plus pauvres, est insensé et indécent.




À quelques jours du 10e anniversaire de l’entrée en vigueur de la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale, le Collectif pour un Québec sans pauvreté invite la ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Agnès Maltais, à renoncer à ses compressions au programme d’aide sociale annoncées en catimini la semaine dernière.




À l’instar de milliers de personnes et d’organisations, le Collectif pour un
Québec sans pauvreté participera aux mobilisations entourant le Sommet sur l’enseignement supérieur. Il ajoute ainsi sa voix à toutes celles qui réclament une société meilleure et plus égalitaire.




Que le Parti québécois mette la lutte à la pauvreté à l’ordre du jour de son caucus de demain et vendredi constitue une bonne nouvelle pour la société québécoise. Toutefois, le Collectif pour un Québec sans pauvreté se demande pourquoi le gouvernement met autant d’insistance sur l’emploi, quand on sait que ce qui a permis les plus grandes avancées dans le domaine de la lutte à la pauvreté ces dernières années, c’est plutôt un meilleur soutien financier.




À l’instar de la Coalition opposée à la tarification et à la privatisation des services publics, qui organise une manifestation contre l’austérité demain à Montréal, le Collectif pour un Québec sans pauvreté revendique le gel des tarifs d’électricité, et ce, autant pour le prix régulier de l’électricité que pour celui de l’électricité dite patrimoniale.




L’adoption unanime, il y a dix ans, de la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale par l’Assemblée nationale du Québec a été, pour les parlementaires, l’occasion d’annoncer leur volonté de changer les choses. En déposant aujourd’hui un bilan‐synthèse de l’application – proprement déficiente – de cette loi, le Collectif pour un Québec sans pauvreté veut tirer des leçons afin d’éviter que, dans
le domaine de la lutte à la pauvreté au Québec, le passé soit garant de l’avenir.




En ce jour de La grande guignolée des médias 2012, et à une semaine du
dixième anniversaire de l’adoption de la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale, le Collectif pour un Québec sans pauvreté s’interroge sur l’impact réel de la charité dans la lutte contre la pauvreté.




À quelques jours du dixième anniversaire de l’adoption de la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale, le Collectif pour un Québec sans pauvreté invite les quatre partis politiques siégeant à l’Assemblée nationale du Québec à présenter un bilan de l’application de cette loi. Il les invite également à faire connaître leurs perspectives en matière de lutte à la pauvreté, aux inégalités et aux préjugés pour les prochaines années.




À l’occasion du dépôt hâtif du budget du Québec 2013‐2014, le Collectif
pour un Québec sans pauvreté tient à formuler quelques recommandations au nouveau gouvernement, lequel a assuré dans son discours d’ouverture que la solidarité allait être un des quatre piliers de son action.




En cette Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté, le
Collectif pour un Québec sans pauvreté invite le gouvernement et toute la société québécoise à écrire une nouvelle page de son histoire, pour faire du Québec une société égalitaire, sans pauvreté ni préjugés.




Le collectif pour un Québec sans pauvreté est heureux de présenter Pour que la solidarité mette fin à la pauvreté. Six idées qui changent le monde, un événement qui réunira le 14 octobre prochain des personnalités et des spécialistes locaux et internationaux sur la scène du Gesù—Centre de créativité.




En cette fin de campagne électorale, le Collectif pour un Québec sans
pauvreté est consterné de constater que la plupart des partis politiques, ainsi que leur chefFE, ne se préoccupent pas du sort des quelque 750 000 QuébécoiSEs qui doivent vivre avec un revenu insuffisant pour couvrir leurs besoins de base. Encore une fois, la pauvreté est ignorée.




En cette campagne électorale où la plupart des partis politiques placent l’économie et la saine gestion des finances publiques au cœur de leurs priorités, le Collectif pour un Québec sans pauvreté rappelle qu’il coûterait moins cher d’éliminer la pauvreté que de continuer à la tolérer.




Le Collectif pour un Québec sans pauvreté trouve incompréhensible que les enjeux relatifs à la lutte à la pauvreté aient été ignorés jusqu’ici dans la campagne électorale, alors que 750 000 QuébécoiSEs ne couvrent pas leurs besoins de base et que le taux de participation aux élections générales québécoises ne cesse de diminuer.




Le Front commun des personnes assistées sociales du Québec
(FCPASQ) et le Collectif pour un Québec sans pauvreté dénoncent vivement la campagne de propagande haineuse contre les personnes assistées sociales, lancée le 21 août dernier par le Parti conservateur du Québec (PCQ).