Le 22 mars dernier, alors que 200 000 personnes marchaient dans les rues de Montréal pour appuyer le mouvement de grève étudiant, on était en droit de s'attendre du gouvernement qu'il invite les organisations étudiantes à venir s'asseoir avec lui pour négocier. Le gouvernement a plutôt préféré persister dans son obstination. Il a même durci le ton.
Au même moment, certainEs se sont sentiEs investiEs d'une mission : casser l'élan du mouvement étudiant.