Le 1er avril 2022, pour une 2e année, le Collectif pour un Québec sans pauvreté invitait groupes et grand public à participer à une journée de visibilité partout au Québec. Le but était de rappeler au gouvernement 1) qu’une personne sur dix au Québec ne couvre pas ses besoins de base et 2) qu’il est temps qu’il agisse pour mettre fin à ce scandale.
Un aperçu de la journée
Des photos
CARTE DES ACTIONS
ALBUM PHOTO
Une vidéo de l’action de Québec
Dans les médias
Lettre ouverte
La pauvreté, ce n’est pas un poisson d’avril
Articles
La Côte-Nord s’appauvrit et ce n’est pas un poisson d’avril
Des actions de visibilité pour dénoncer la pauvreté (Côte-Nord)
Ce n’est pas un poisson d’avril : au Centre-du-Québec, on s’affiche contre la pauvreté!
On s’affiche contre la pauvreté à Nicolet
Ce n’est pas un poisson d’avril – À Drummondville, on affiche contre la pauvreté
La pauvreté pointée du doigt à Drummondville
Le Collectif anti-pauvreté de Lanaudière dénonce le budget provincial 2022
Communiqués
RAPSIM: À MONTRÉAL, ON S’AFFICHE CONTRE LA PAUVRETÉ!
Collectif pour un Québec sans pauvreté: PARTOUT AU QUÉBEC, ON S’AFFICHE CONTRE LA PAUVRETÉ
La Tribune et La Voix de l’Est, 2 avril, Comité régional estrien pour un Québec sans pauvreté
La Presse+, 1er avril
Les Coops de l’information, 2 avril
Quelques façons de participer
L’action est terminée mais rien ne nous empêche de continuer à diffuser le message.
1) Affichez le visuel de l’action chez vous, dans votre milieu de travail, dans votre quartier, au bureau de votre député.e, etc.
2) Prenez des photos de vous et de vos collègues avec l’affiche et partagez-les sur votre page Facebook, dans l’événement Facebook de la journée ou ailleurs.
3) Repartagez les images et les messages publiés sur la page Facebook du Collectif.
4) Faites suivre vos images et votre message à votre député.e, aux ministres Eric Girard et Jean Boulet (ministre@finances.gouv.qc.ca; ministre@mtess.gouv.qc.ca) et au Collectif (retour@pauvrete.qc.ca).
Mots-clics de la journée: #PasUnPoissonDavril #MPCminimum #LaMPCauPC
VISUEL EN FORMAT IMPRIMABLE
IMAGE DE COUVERTURE FACEBOOK
Lien vers la carte des actions du 1er avril 2021 (avec photos)
Messages à repartager avec vos publications
Version courte:
Une personne sur dix ne couvre pas ses besoins de base au Québec. Le gouvernement doit cesser d’ignorer ce scandale. La couverture des besoins de base, telle que définie par la Mesure du panier de consommation (MPC), devrait être considérée comme un minimum pour tout le monde.
Plus d’information sur la page https://www.pauvrete.qc.ca/poisson
#PasUnPoissonDavril #MPCminimum #LaMPCauPC
Version longue:
Texte des publicités parues dans Le Devoir (1er avril) et les médias des Coops de l’info (2 avril)
La Mesure du panier de consommation (MPC) représente le minimum requis pour espérer couvrir ses besoins de base. En moyenne, 800 000 personnes disposent d’un revenu inférieur à la MPC au Québec et doivent régulièrement couper dans l’essentiel, au détriment de leur santé et de leur dignité. Il va sans dire que la forte hausse du coût de la vie les frappe de plein fouet.
Depuis le début de son mandat, le gouvernement a maintes fois démontré que la lutte contre la pauvreté ne fait pas partie de ses priorités. Le budget du 22 mars en est la dernière preuve. Les personnes en situation de pauvreté n’ont eu droit à aucune attention spéciale ni à aucune mesure visant à améliorer durablement leur revenu et leurs conditions de vie.
Combien de temps encore le gouvernement pourra-t-il ignorer qu’il a la responsabilité, en vertu de la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale, de viser AU MINIMUM la couverture des besoins de base pour l’ensemble des citoyennes et citoyens du Québec?
Plus d’information sur la page https://www.pauvrete.qc.ca/poisson
#PasUnPoissonDavril #MPCminimum #LaMPCauPC
Pour en savoir plus sur les revendications du Collectif
Au mois de mars, le Collectif a mené une campagne prébudgétaire pour inciter le gouvernement à adopter des mesures structurantes de lutte contre la pauvreté plutôt que de simples mesures ponctuelles et cosmétiques. Il a notamment présenté ses principales recommandations au ministre des Finances dans un mémoire prébudgétaire.
