La Commission recommande : 5. Que les barèmes d’aide sociale soient fixés en fonction des besoins de base pour assurer un niveau de vie décent aux personnes ciblées, et non en fonction du type de programme mis en place. 6. Que ces barèmes ne soient pas de simples barèmes de survie mais qu’ils assurent l’exercice de l’ensemble des droits de la personne.

Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse

Mémoire sur le projet de loi no 57 (Loi sur l’aide aux personnes et aux familles), septembre 2004, p. 14

Alors qu’en 1995, il y avait plus de 800 000 personnes prestataires d’assistance sociale, il y en avait un peu plus de 430 000 en novembre 2015. Il s’agit du plus bas niveau des 40 dernières années.

Source: Mireille Lévesque et Pierre Lanctôt (2001), « Chapitre 15 - L’aide sociale », à la p. 341, www.bdso.gouv.qc.ca/docs-ken/multimedia/PB01614FR_Port_soc2001H00F16.pdf ; Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale (2015), Rapport statistique sur la clientèle des programmes d’assistance sociale, novembre 2015, p. 1, www.mess.gouv.qc.ca/statistiques/prestataires-assistance-emploi ; Louise Gagné (2015), « Le nombre d’assistés sociaux à son plus bas au Québec », Journal de Montréal, 27 septembre 2015, www.journaldemontreal.com/2015/09/27/jamais-eu-aussi-peu-de-bs